Vivez harmonieusement avec les autres grâce aux boîtes de rangement

 

Catégorie Développement Personnel

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Ah, si seulement les autres réagissaient comme moi, pensaient comme moi, vivaient comme moi, avaient les mêmes valeurs que moi… !

S’il n’y avait pas de gens bizarres, avec des réactions qui me semblent étranges, avec des raisonnement idiots …..

Si seulement les autres ÉTAIENT comme moi, ce serait tellement plus simple !

Si le monde n’était pas peuplé de c…, ma vie pourrait enfin être agréable !

Les autres : c’est compliqué ?

Sur facebook, il existe un statut décrivant la situation amoureuse et où on a le choix entre trois possibilités :  Célibataire – En couple – C’est compliqué.

Le troisième terme intitulé : «C’est compliqué» me fait toujours bien rire…

Car, au-delà de la situation amoureuse, il est le reflet de la complexité des relations en général.

En effet, je constate au quotidien qu’un des principaux problèmes que les gens rencontrent dans leur vie sont relatifs à leurs relations avec autrui… Le conjoint qui ne comprend pas nos besoins, les enfants qui n’écoutent pas ce qu’on leur demande, le patron qui fait rejaillir son stress sur nous, les collègues démotivés… Mais aussi, l’automobiliste mal garé, la caissière désagréable, l’employé communal incompétent…

Les autres semblent être la source de toutes nos difficultés et, sans être nécessairement enclins à des pensées radicales, avouons que, parfois, nous aimerions qu’une justice universelle régule les naissances, empêchant certains types de personnalités de se reproduire ou, au moins, qu’elles s’évaporent bien loin dans l’atmosphère.

Je suis d’ailleurs heureuse que la loi de l’Attraction ne donne pas de résultats immédiats pour toutes les fois où j’ai pensé «Crève, espèce de s… c…»

D’autre part, notre envie d’être bienveillants, notre souci de devenir de «bonnes personnes» tolérantes, notre besoin d’être acceptés et de recevoir de la reconnaissance nous pousse parfois à accepter des relations et des comportements qui consomment notre énergie et, finalement, nous nuisent.

Ecartelés entre notre ange intérieur qui nous dicte la compréhension, l’acceptation des différences et notre démon intérieur qui nous chuchote d’envoyer notre poing sur la figure des sales cons, nous finissons par nous épuiser à essayer de transformer ce qu’il n’est pas en notre pouvoir de transformer : les autres.

Je n’échappe pas à cette tendance et je me surprends encore parfois à consacrer 50 % de mon énergie quotidienne à réfléchir comment je pourrais agir pour que Monsieur Dupont ou Madame Trucmuche se comporte différemment 🙂

Cependant, j’avance… Et après avoir constaté à quel point changer les autres est un combat stérile et perdu d’avance, j’ai adopté une méthode qui me correspond bien : la méthode des boîtes de rangement.

Bon, je reconnais que cette méthode pourrait sembler être le reflet d’une personnalité psycho-rigide (et je m’empresse de démentir : je ne suis pas rigide, je suis juste trop organisée), mais elle me permet de mettre de l’humour au lieu de rentrer dans des psychodrames ou des délires paranoïaques de croire que le monde entier est ligué contre moi et que les cons sont nés juste pour tester ma capacité de résistance suite à la haute évolution spirituelle à laquelle je suis parvenue après 20 ans de travail sur moi-même 🙂

NB : Cette méthode des boîtes de rangement m’a été inspirée par la lecture (il y a déjà quelques mois) d’un article assez amusant, écrit par une coach française et qui s’intitule : « Guide de survie aux abrutis : bocal à con et manque de pot ».

Vous trouverez cet article en cliquant : ici

 

Quelle boîte pour qui ?

 

La boîte : « Je reste polie »

 

La boîte : « Cela ne me convient pas »

 

La boîte : « A transformer »

 

La boîte « Feu rouge : ne fais pas un pas de plus dans cette direction »

 

La boîte : « J’évite absolument »

 

La boîte : « A consommer avec modération »

 

La boîte : « Ce qui m’aide à grandir »

 

La boîte : « Encore, encore ! »

 

Vous aurez sans doute remarqué que l’intitulé des étiquettes que j’ai placées sur mes boîtes évoquent plus ma réponse, donc le comportement que j’adopte, plutôt que de parler des caractéristiques des autres (qui ne seraient jamais qu’une manière de les juger avec mes critères personnels).

Cela me ramène à ma propre responsabilité et à mes propres choix…

Et, finalement, ceux que moi j’évite sont sans doute adorés par d’autres personnes… Il n’existe certainement pas d’échelle de valeur absolue.

Ce que je constate depuis que j’utilise cette méthode, c’est que je perds nettement moins de temps et moins d’énergie à me poser mille questions… Une boîte = 1 type de réaction que je peux aller chercher de manière automatique.

C’est sans doute aussi le reflet du travail de développement personnel que j’ai fait et qui m’a permis d’avoir plus d’estime pour moi-même. Au lieu de mettre l’autre au centre (et de dépendre de son jugement sur moi), je me suis remise au centre de ma propre vie et c’est moi qui évalue avec qui j’ai envie d’être en relation.

Sur ce sujet de se remettre au centre de sa propre vie, vous pouvez également aller lire cet article  :

Penser à soi ou penser à l’autre ?

Et vous ? Avez-vous déjà envisagé vos relations avec les autres selon ce principe des boîtes de rangement ? Quelles sont vos catégories ?

Ou avez-vous d’autres méthodes pour que vos relations soient harmonieuses ?

Partagez-les avec nous dans les commentaires…

 

Cet article participe à l’événement inter-blogueurs organisé par Jonathan du blog   « Méditer pour être heureux »

Sous l’impulsion du blog : développement personnel.org

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Commentaires

  1. Bonjour Véronique,

    J’ai lu votre article et même si j’ai ri au premier abord, je trouve ça aussi assez spécial de catégoriser ses relations (de insatisfaisante pour ne pas dire toxique à très satisfaisante – votre boîte « encore x 2 » sacrément bien pleine !-). Depuis qqs mois, grâce à vous, je comprends maintenant et essaie de m’améliorer (exit les relations sans réciprocité). Un ami m’avait un jour confié qu’il faisait un « tri » dans les relations, notamment de ses fils, et à l’époque, cela m’avait choqué ! Je me disais qu’il valait mieux des relations, même si ce n’est pas le pied, que pas de relations du tout… C’est difficile de faire un tri car je peux également me dire que si les personnes n’ont pas ce rapport de réciprocité (les gens qui ne vous réinvitent pas après les avoir invité par exemple), c’est que finalement, ils n’y tiennent pas et n’ont pas d’estime ni de considération pour vous. Enfin, maintenant, j’avoue que j’ai pris pas mal de distance et c’est tant mieux. C’est parfois pas plus mal de ne pas entretenir des relations si elles ne paratissent pas satisfaisantes. Et puis, finalement, pour trouver une relation épanouissante, il faut au minimum qu’elle soit satisfaisante…
    Ceci dit, j’ai vu qu’il y avait des soucis de sécurité sur le forum. Donc, je m’appuie sur votre article pour vous questionner sur l’exercice des affirmations. Je suis en panne de frein(s) ! Non rien à voir avec la pénurie de carburant 😉 C’est que je ne trouve pas vraiment de frein, de phrase. Tout ce qui me vient, c’est du blabla, des choses banales. Mes freins réels sont bcp plus intimes et n’ont rien à voir avec le sujet d’ailleurs (travail) puisqu’il s’agit des enfants (les bousculer dans leurs habitudes, leurs loisirs, leurs amis, leur père, être amenée à déménager…)… Pfff, ça m’énerve. Mes barrières ne sont pas d’ordre professionnel… L’exercice m’aide-t-il vraiment dans ce cas ??
    Bonne fin de journée !
    Lili

    1. Author

      Bonjour Lili,

      Je comprends que le concept des « boîtes de rangement » puisse paraître étrange… En même temps, je pense que parfois nous perdons beaucoup de temps, d’énergie et d’émotions négatives à essayer de faire fonctionner des relations qui ne fonctionnent pas (et peuvent même devenir toxiques)… Pour les relations non toxiques mais pas réellement nourrissantes mais fonctionnelles, en connaissant le « mode d’emploi », on économise aussi du temps et de l’énergie (et sans doute que l’autre personne aussi).

      Ceci dit, pour répondre à votre question concernant l’exercice des affirmations, le fait de ne pas trouver de « grandes » phrases n’est pas un problème : souvent, nos freins ne sont pas cachés dans de grands concepts mais dans des petites choses qui peuvent sembler anodines.
      Mais puisque, tout en faisant l’exercice sur le thème du travail, ce sont des freins par rapport à vos enfants qui émergent, l’exercice reste utile (puisque l’on y voit que les véritables freins sont dans un autre domaine).
      Je vous conseille :
      – soit (lorsque cette série-ci sera terminée) de reformuler la prochaine série d’affirmations en incluant le volet de vos enfants (en prenant le thème qui vous touche le plus profondément)
      – soit (toujours lorsque cette série-ci sera terminée) de refaire une nouvelle série centrée sur ce thème des enfants (et de travailler alors la peur de ne pas être une mère « adéquate » si vous écoutez votre désir de changer de travail ou même la peur de ne pas être une mère « adéquate » en général).

      Je ne peux pas vous proposer de modèle de phrase car cela demanderait de dévoiler en public des choses effectivement plus intimes mais j’espère que vous trouverez votre phrase qui bouscule.

      Bonne journée à vous.
      Véronique

  2. Bonjour Véronique,
    Je suis confrontée à un « feu rouge », pour ne pas dire sens interdit… Des enfants (moins de 9 ans !), des voisins de surcroît, insultent copieusement ma fille lorsqu’elle se trouve avec sa copine, dans la rue ou dans notre jardin. Je suis intervenue une 1ère fois en leur demandant de cesser tout simplement, cela ne se fait d’insulter les gens ; comme ils continuaient, je leur ai dit que je n’aurais d’autre choix que prévenir leurs parents. Tu parles !
    Ils ont recommencé hier, ils ont même renversé ma poubelle sur mon parking, ce qui m’a fait sortir de la maison pour à nouveau intervenir. Et là, devant moi, avec un aplomb que je n’imaginais pas possible de la part d’enfants de cet âge, l’un d’entre eux a continué son langage fleuri et a même fait des doigts d’honneur (comment appeler cela « honneur » d’ailleurs, c’est impensable) en ma présence !!! J’ai vertement répondu et disant que ce n’était pas acceptable de se faire insulter de la sorte et que j’allais devoir aller voir ses parents… Ce que je n’ai pas fait encore, je n’aimerais pas réagir sous le coup de la colère (car j’étais réellement en colère hier soir).
    Le problème, c’est que je ne crains absolument pas d’aller voir ses parents mais je ne suis pas sûre d’avoir une réaction positive ou en tout cas, dans le sens que j’espère (un arrêt de ces insultes). Car figurez-vous que les parents sont là, dans leur maison, ils laissent faire leurs enfants n’importe quoi (endommager la haie d’un autre voisin par ex), ils sont dans la rue en permanence, manifestement ils n’ont pas d’autre occupation que d’emm… le monde !
    Bon, je sais qu’au moins, j’aurai fait ce qui me semble naturel et bon de faire, mais enfin, quel conseil me donneriez-vous Véronique ?

    Bonne journée, meilleure qu’hier je l’espère,

    Lili

    1. Bonjour Lili,

      Là, vous vous attaquez à un « gros morceau » 😉
      Aller voir des parents pour leur dire (même de façon indirecte) que leurs enfants sont mal élevés, cela risque de mal passer 😉
      Les enfants sont les trésors de leurs parents et s’ils les éduquent comme cela (ou plutôt s’ils ne les éduquent pas), c’est qu’ils pensent que c’est cela être de bons parents.
      Et vous risquez de toucher un point qui est sensible chez de nombreuses personnes : leur manière de faire avec leurs enfants.
      Si vous souhaitez aller les trouver, je vous conseillerais d’aborder cela de manière diplomate en disant quelque chose comme : « J’aimerais parler avec vous et avec vos enfants car je me demande si les miens n’auraient pas blessé/fait de la peine aux vôtres… J’ai assisté à un moment où vos enfants avaient l’air très en colère contre les miens et je me demande si le miens n’auraient pas eu une attitude qui justifierait cette colère. Je me dis que cela vaut la peine d’en parler, qu’en pensez-vous ? ».
      De cette manière, vous pourrez a border le sujet sans qu’ils se sentent attaqués.

      Mais vous risquez quand même d’être confrontée à une non compréhension de leur part… Leurs habitudes sont peut-être très différentes des vôtres, et leurs valeurs morales aussi… Attendez-vous quand même à être déçue de leur réaction ! Tout le monde n’est pas prêt au dialogue. Et, dans ce cas-là, rangez-les dans la boîte « à éviter »…

      Tout en voyant avec vos enfants comment ils peuvent se comporter si cela arrive encore.
      Une chouette vidéo parle de comment on peut aider nos enfants à faire face aux autres enfants de type « harceleurs »… Vous y trouverez peut-être de l’inspiration :

      D’autre part, comme vous êtes à un moment où vous vous posez la question de quitter la région pour chercher un travail ailleurs, c’est peut-être un signe 😉 !

  3. Bonsoir Véronique,
    Oui je ne peux qu’y penser (à quitter la région) !!! J’ai d’ores et déjà regarder pour au moins changer de quartier ! (Ma fille a fait le rêve la nuit suivante que l’on déménageait d’ailleurs, incroyable !!)
    Bon, sinon, deux de ces enfants se sont excusés le lendemain, tout en me demandant si j’allais parler à leurs parents, je leur ai répondu non si cela ne se reproduisait pas. Quant aux 2 autres, pas de trace depuis…
    J’aurais pu me dire « super, cela a suffi »… Mais non, maintenant ils sonnent en permanence à la porte, et ils partent se cacher qd j’ouvre !!! J’ai fini par leur dire que j’allais appeler la police. La menace sera-t-elle plus efficace que les parents ?? Hum pas sûr, vu qu’ils ont recommencé une fois. J’ai donc fait un signalement à la police. Il n’est pas tolérable que des gamins puissent emm… le monde impunément. Je le fais surtout pour les enfants d’ailleurs (vous comprendrez pourquoi) : je veux leur montrer que l’on ne doit pas accepter ce que l’on pense inacceptable (fermer les yeux, subir) et je resterai ferme. Mon fils a d’ailleurs eu une réaction improbable (il a dit, « maman n’est pas gentille », et je lui ai expliqué le pourquoi de mon appel à la police).
    Par contre, je ne partage pas votre avis sur la façon d’aborder le sujet avec leurs parents, je ne vais pas dire que mes enfants auraient pu faire qq chose à leurs enfants alors que d’après ma petite enquête auprès de ma fille, non elles n’ont strictement rien fait, ce sont eux qui les ont provoqué puis insulté. Je passe outre (je veux dire, je m’adresse directement à la police), je ne vais pas chercher à discuter avec des personnes qui de toute façon s’en contre-fichent du bazar que mettent leurs enfants et de leur manque de respect (qui sait, ça les amuse peut-être, j’imagine déjà leurs commentaires : « c’est que des trucs de gosses, ah ah »).
    Vous savez, je ne me fais pas d’illusion, je suis l’unique femme seule du quartier, je suis donc la cible facile, il n’y a pas un homme qui sortira et gueulera un bon coup. Non c’est une femme qui sort, et vous savez qu’elles sont loin d’être respectées. Vu que c’est loin d’être la première fois que ça m’arrive (avant d’être en couple, c’était monnaie courante, je les attire faut croire – d’ailleurs, y aurait-il une faille physique chez moi, suis-je un aimant à harceleur ?), je pense qu’il est temps que je me mette à la self-defence.
    Bon, ça ajoute de l’eau à mon moulin, si j’avais peur de m’ennuyer, c’est raté !-)
    Pour finir, et c’est drôle la sérendipité, je lis un livre sur « Affirmez-vous » depuis 1 bon mois, plein de bons raisonnements et d’astuces mais qui hélas, ne valent que si elles s’appliquent entre personnes de bonne volonté. Pas gagné ! Je vais finir par chercher une île déserte, je crois !
    Bonne soirée
    (Du coup, ça a éclipsé mon autre message sur l’autre article, ne l’avez-vous pas vu ?)
    (Je ne peux m’empêcher de penser que tous les efforts faits depuis nos entrevues, se soldent par un échec, je ne peux peut-être pas lutter ?)

    1. Bonjour Lili,

      Je continue à penser que, si vous souhaitiez aborder les choses avec ces parents, il vaut mieux le faire de manière « diplomatique »…

      Moi, je crois que, lors des conflits entre des enfants, il vaut mieux garder l’esprit ouvert et ne pas se présenter aux autres parents avec la très visible certitude que « Mes enfants n’ont rien fait, ce sont les vôtres qui sont les méchants ». C’est évidemment un réflexe habituel de parents que de croire nos enfants complètement innocents (et vous pouvez certainement dire à vos enfants que vous les croyez complètement tout en vous présentant à ces autres parents avec une attitude qui leur montre que vous n’avez pas ces à-prioris habituels et que vous cherchez simplement à arranger les choses entre les enfants).
      Mais en vous positionnant d’emblée face à leurs parents en « redresseuse » d’enfants mal élevés, vous risquez d’empirer la situation.

      Mais il semblerait qu’à présent, vous ne souhaitiez plus aller leur parler puisque vous écrivez :  » … je ne vais pas chercher à discuter avec des personnes qui de toute façon s’en contre-fichent du bazar que mettent leurs enfants et de leur manque de respect« … Il n’est donc pas nécessaire que je m’étende plus longuement sur des conseils visant à vous permettre d’aborder cette rencontre sereinement. Mais je pose la question : Les réactions que vous imaginez chez ces parents, ne serait-ce pas des suppositions ?

      Ceci dit, je ne sais pas si vous avez visionné la vidéo dont je vous ai copié le lien dans ma précédente réponse…

      Si on en croit cette experte en « harcèlement d’enfants », il semblerait que, lorsque les adultes interviennent directement eux-mêmes, ils envoient le message suivant à leurs enfants : « Tu es trop fragile pour te défendre tout seul », ce qui ancrera la croyance chez eux qu’ils ne sont pas suffisamment forts pour se débrouiller dans le monde.
      Visionnez la vidéo puis, si vous le désirez, on peut en reparler…

      Il faut avoir conscience que, lorsque l’on s’est beaucoup « écrasée », au moment où on commence à s’affirmer, on le fait parfois un peu dans l’extrême inverse…
      Et lorsque l’on va un peu dans l’extrême, se montre-t-on soi-même vraiment comme une « personne de bonne volonté » ? Ne serait-on pas plutôt dans un mode « agressivité » ?
      Soyez quand même attentive à ce risque de réagir de manière réactionnelle…
      Mais, avec le temps, le « juste milieu » pourra sans doute s’installer.

      Quant à l’échec éventuel des efforts que vous faites depuis nos entrevues, Paris ne s’est pas fait en un jour 😉
      Mais il n’y a que vous qui pouvez mesurer quelles sont les choses qui se sont améliorées et quelles sont les choses où vous êtes encore fragile.
      Moi, il me semble que lorsque vos enfants sont concernés, c’est plus compliqué à gérer pour vous (et c’est bien normal : ils représentent notre plus grand trésor et nous sommes tous toujours plus vulnérables quand il s’agit d’eux).

      Bien à vous,

      Véronique.

  4. Bonsoir Véronique,
    Je me suis permise de faire un test ci-dessus car sur Safari, il y a dû y avoir un bug, le commentaire n’a pas été validé…
    Je n’avais pas copié mon laïus, alors je serai plus concise, pas plus mal 😉
    C’est encore une histoire de perception : est-ce moi qui perçoit mal les choses ?
    Voici l’exemple : j’ai souhaité un bon anniversaire à une copine via Fb, copine que je vois très rarement et que j’avais rangé dans la boîte à éviter avant même de connaitre votre site (le bon sens marche parfois). Donc, on discute, c’est cool. Elle me propose d’aller en boîte avec elle le samedi, histoire de me bouger. Je finis par lui dire ok, ça peut être sympa, j’aime bien danser. On continue notre discussion et pour conclure, elle me dit « à samedi, sauf si X m’appelle, je vais le voir ! » Non mais je rêve ! Elle m’a déjà fait le coup et je lui avais dit que j’annulais, elle s’était ravisée. Et là elle recommence. Je sais qu’elle est très opportuniste, mais qd même. Si moi je prévois une sortie avec une copine, ce n’est pas pour prévoir un plan Q au cas où… Du coup, j’ai envie d’annuler tout simplement notre hypothétique rendez-vous !
    Suis-je susceptible ou lucide ??

    1. Bonjour Lili,

      Je ne pense pas du tout que vous soyez susceptible, au contraire ! Votre GPS fonctionne très bien puisque vous sentez parfaitement bien que cette manière de fonctionner ne vous convient pas. Et cela ne me conviendrait pas du tout à moi non plus. Vos valeurs comportent le respect de l’autre et cela sous-entend le respect de l’engagement pris (car cela signifie le respect du temps de l’autre). Votre copine semble ne pas avoir la même notion que vous (que nous) du respect de l’autre puisqu’elle ne semble pas voir de problème au fait d’éventuellement vous décommander à la dernière minute pour donner priorité à l’homme qui pourrait l’appeler. Elle n’a pas l’air de se demander ce que vous, vous feriez de votre samedi soir si elle annulait en dernière minute.
      Et quoi ? Jusque quand se laisse-t-elle la possibilité d’annuler : 15 minutes avant ? Et vous, que ferez-vous alors ?
      Bref, c’est un total manque de respect à mes yeux et, si j’étais vous, je remettrais bien vite cette « même pas copine » dans la boîte « à éviter absolument ».
      Nous avons tous le droit de ne pas vouloir entretenir des relations avec des personnes qui ne partagent pas nos valeurs profondes.
      Faites d’autres plans pour ce samedi… Et annulez avec elle.
      Bien à vous,
      Véronique.

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